Nietzsche : l'herméneutique au péril de la généalogie ? - Décembre 2015 - n° 24
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Les auteurs Martine
Béland est
professeure au département
de philosophie du collège Édouard-Montpetit et
chercheure associée au Centre
canadien d’études allemandes et européennes
(Montréal, Canada). Ses recherches
et ses publications portent sur Nietzsche, la
philosophie allemande au XXe
siècle et les théories de la réception. Clément Bertot est agrégé de philosophie. Professeur assistant à l’université catholique de Louvain, il prépare une thèse sur Le problème de la grandeur dans la philosophie de Nietzsche, en co-tutelle avec l’université de Reims Champagne-Ardenne, sous la direction des professeurs P. Wotling et J. Leclercq. Ses recherches portent sur Nietzsche et sur la phénoménologie française, notamment sur Michel Henry ».
Thorsten Botz-Bornstein a fait
des études de
philosophie à Oxford et à Paris
(EHESS) où il a reçu son habilitation.
Il a
travaillé en Scandinavie, aux
États-Unis (Tuskegee University) et en
Asie. Il
est actuellement professeur associé à
la Gulf University for Science
and
Technology au Koweit. Il poursuit
depuis plusieurs années des
recherches
comparatistes sur la culture des
différentes aires de civilisation et
la
relation entre réalité et virtualité.
Parmi ses ouvrages publiés :
Japan and the
virtual (Rodopi, 2004), Films and
dreams (Lexington Books, 2007),
Aesthetics
and politics of Space in Russia and
Japan (Lexington Books, 2009),
Inception
and Philosophy (Wiley-Blackwell
Publishing, 2011), La Chine contre
l’Amérique. Culture sans civilisation
contre civilisation sans culture
(L'Harmattan, 2012).
. Angèle Kremer-Marietti est docteur d’État ès Lettres et Sciences humaines. Philosophe, elle est lauréate de l’Académie française (prix de poésie), maître de conférences honoraire de l’Université de Picardie (Amiens). Elle a donné un début de synthèse de ses travaux dans Parcours philosophiques (1997). L‘ouvrage La Symbolicité ou le problème de la symbolisation (Paris, PUF, 1982 ; rééd. L’Harmattan, 1999) revient aux processus et séquences originaires de la symbolisation avec l’aboutissement dans le Symbolique. Elle est l’auteur de travaux sur Auguste Comte et Frédéric Nietzsche. Publications récentes : Michel Meyer et la problématologie (2008) ; Réflexions sur les temps actuels (2009) ; Nietzsche ou les enjeux de la fiction (2009) ; Les ressorts du symbolique (2011) ; Liberté de dire (2013) ; Autrui, soi et tout le reste (2013) ; Merleau-Ponty. La relation au langage et au sens (2013). Vincent
Canivé est
professeur de Lettres au
lycée P. Bayen à
Châlons-en-Champagne. En
2013, il a obtenu le
master Lettres,
Langues et Cultures
étrangères, spécialité
Philosophie, à
l’université Reims
Champagne-Ardenne. Il
est maintenant doctorant
à l’U.R. de Reims où il
prépare
une thèse sur Kant. José
Antonio Errázuriz est
aspirant du Fonds
national de la recherche
scientifique (FNRS,
Belgique) à l’université
catholique de Louvain. Il
termine une thèse portant
sur la possibilité d’une
herméneutique de la
discorde. Il a publié en
Allemagne un livre sur
l’herméneutique de H.G.
Gadamer, et ses articles
portent sur des questions
de
phénoménologie, de logique
et de philosophie
politique. Ses recherches
visent
une application des
connaissances
herméneutiques et
phénoménologiques à
l’analyse des phénomènes
politiques et
relationnels.
Guillaume
Fagniez est
agrégé et docteur en
philosophie (Université
libre de Bruxelles/
Bergische
Universität-Wuppertal).
Actuellement chargé de
recherches du FRS-FNRS à
l’Université libre de
Bruxelles, il a
notamment traduit
l’ouvrage de M.
Heidegger,
Phénoménologie de
l’intuition et de
l’expression (Paris,
Gallimard, 2014).
Alexandre Fillon est agrégé de philosophie et prépare actuellement son doctorat sous la direction de Patrick Wotling, au Centre interdisciplinaire de recherche sur les langues et la pensée (CIRLEP-EA4299), université de Reims Champagne-Ardenne. Sa thèse porte sur le statut du discours philosophique chez Nietzsche.
Philippe Forget est
docteur en philosophie
morale et politique (Paris
IV-Sorbonne), ancien
chercheur en science
politique
à l’Institut universitaire
européen de Florence. Il a
publié de nombreuses
études d’anthropologie
philosophique ou
stratégique. En
collaboration avec
Gilles Polycarpe, il a
publié L’Homme machinal
(Paris, Syros, 1990) et Le
Réseau et l’infini (Paris,
Economica, 1997). Il est
l’auteur de plusieurs
entrées dans le Dictionnaire
de stratégie (Paris, PUF,
coll. « Quadrige »,
2006). Également théoricien
de la laïcité, il a publié
Du citoyen et des
religions (Paris, Berg
International, 2013).
Site internet de l’auteur : www. claude-raphael-samama.org Yannick Souladié est docteur en philosophie et chercheur associé à l’Équipe de recherche sur les rationalités philosophiques et les savoirs (ERRAPHIS, EA 5031), université de Toulouse II. Il a dirigé un collectif sur Nietzsche. L’Inversion des valeurs (Hildesheim, Olms, 2007), traduit les Dernières lettres de Nietzsche (Paris, Manucius, 2011) et édité ses Écrits autobiographiques (Paris, Manucius, 2011). Il est l’auteur d’une vingtaine d’articles sur la philosophie moderne et contemporaine. Patrick Wotling, ancien élève de l’École normale supérieure (ENS), professeur à l’université de Reims, fondateur et directeur du Groupe international de recherche sur Nietzsche (GIRN), a notamment publié Nietzsche et le problème de la civilisation (Paris, PUF, 1995, 4e éd. 2012) ; La pensée du sous-sol (Paris, Allia, 1999, rééd. 2007) ; La philosophie de l’esprit libre. Introduction à Nietzsche (Paris, Flammarion, 2008) ; Nietzsche (Paris, Le Cavalier Bleu, coll. « Idées reçues », 2009) ; et en collaboration avec Céline Denat, Dictionnaire Nietzsche (Paris, Ellipses, 2013). Il a également traduit plusieurs ouvrages de Nietzsche et publié de nombreux articles et ouvrages collectifs en France et à l’étranger.
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