Lumières et anti-Lumières au Royaume-Uni - Décembre
2014 - n° 23
sous la direction de René Daval
Télécharger la 4ème de couverture au format pdf |
SOMMAIRE En cliquant sur les intitulés ci-dessous, vous téléchargerez (format pdf) un extrait de chacune des contributions figurant dans l'ouvrage
|
Les auteurs Clément Bertot est agrégé de philosophie. Après avoir enseigné en lycée
en France, il est aujourd’hui professeur assistant à l’université catholique de
Louvain-la-Neuve en Belgique, où il prépare une thèse sur Le problème de la
grandeur chez Nietzsche, en co-tutelle avec l’université de Reims. Ses
recherches portent sur la pensée de Nietzsche et sur la phénoménologie
française, notamment sur Michel Henry. Julius Bonnand est étudiant en
deuxième année de master-recherche en philosophie à l’université de Reims
Champagne-Ardenne. Son travail de recherche, qu’il effectue sous la direction
de M. Daval, porte sur le concept du don. L’objectif de cette recherche est de
comparer les résultats de l’ethnologie sur le don dans les sociétés
ancestrales, avec ceux de la philosophie ou des différentes cultures qui nous
précèdent et avec une analyse du don dans nos sociétés contemporaines, pour
pouvoir répondre à la question : le don représente-t-il une idée universelle,
collective et inconsciente, qui est sous-jacente à la formation des sociétés
humaines? Camille Burté est étudiante en
master2-recherche, en philosophie à l’université de Reims Champagne-Ardennes.
Elle effectue un mémoire, dirigé par le professeur René Daval, sur l’inconscient
et les caractérisations antithétiques et aporétiques qui gravitent autour de
cette notion et qui nous poussent à la concevoir comme une irréfutable
réfutabilité. Vincent Canivé est professeur
de Lettres au lycée P. Bayen à Châlons-en-Champagne. En 2013, il a obtenu le
master Lettres, Langues et Cultures étrangères, spécialité Philosophie, à
l’université Reims Champagne Ardennes. Il est maintenant doctorant à l’U.R. de
Reims où il prépare une thèse sur Kant. René Daval est professeur de
philosophie à l’UFR Lettres et Sciences humaines de l’université de Reims. Il
enseigne principalement l’histoire de la philosophie moderne et contemporaine,
la philosophie du langage et l’éthique, ainsi que la philosophie médiévale. Il
a publié Enthousiasme, ivresse et mélancolie (Paris, Vrin, 2009), La
philosophie de Samuel Alexander (sous presse, Paris, Hermann, 2014). Philippe Forget est docteur en
philosophie morale et politique, ancien chercheur en science politique à
l’Institut universitaire européen de Florence. Il a publié de nombreuses études
d’anthropologie philosophique ou stratégique. En collaboration avec Gilles
Polycarpe, il a publié L’Homme machinal (Paris, Syros, 1990) et Le Réseau et
l’infini (Paris, Economica, 1997). Il est l’auteur de plusieurs entrées dans le
Dictionnaire de stratégie (Paris, PUF, « Quadrige », 2006). Théoricien de la
laïcité, il a publié récemment Du citoyen et des religions. Liberté,
souveraineté et laïcité (Paris, Berg International, 2013). Dominique de La Tour est
historien et archéologue de formation. Il s’est beaucoup intéressé au
Proche-Orient des Croisades ainsi qu’à la Révolution française. Il est l’auteur
de plusieurs ouvrages d’art et de voyages, et collabore à de nombreux magazines
d’art (Beaux Arts, Journal des Expositions, Artension…). Il a participé à la
fondation de L’Art du Comprendre. Gilliane Laurent est doctorante
en philosophie à l’université de Reims où elle finit sa thèse, Jeux de lecture,
jeux de langage : l’ubiquité de la pensée wittgensteinienne ou l’horizontalité
contre la verticalité, sous la direction des professeurs René Daval et Lorenzo
Vinciguerra. Membre du séminaire Res per Nomen du CIRLEP de Reims depuis 2008,
elle y est notamment intervenue pour parler de « La remarque wittgensteinienne
et la phrase proustienne », du « Street art, galerie. Rero et les mots barrés
», et interviendra prochainement sur Stanley Cavell et la comédie du remariage.
Article publié : « L’ubiquité de la pensée wittgensteinienne et la référence :
une Cindy Oudot a obtenu son master
de philosophie en 2009, en soutenant un mémoire portant sur l’inconscient
collectif et les archétypes dans le rêve chez C.G. Jung, leur manifestation et
intervention sur la conscience. Elle est aujourd’hui rédactrice d’articles
destinés principalement au web. Marie-Charline Pacquot est
diplômée de Sciences Po Paris. Elle enseigne actuellement à l’université de
Franche-Comté où elle prépare une thèse sur les écritures de la Révolution
française au XIXe siècle et co-dirige les Ateliers Thématiques de Recherche en
Sciences Sociales. Ses thèmes d’étude se situent au croisement de la
philosophie et de l’histoire, dans un siècle où le régime discursif est
brouillé. Claude-Raphaël Samama est
docteur en anthropologie des civilisations (Dauphine-Paris X), diplômé d’études
supérieures en philosophie (Sorbonne) et en sciences humaines cliniques (Paris
VII). Il a été enseignant puis directeur d’études. Parmi ses ouvrages : Savoirs
ou les jeux de l’Oir (Galilée), Développement mondial et culturalités (2001),
105 essais de Miniatures spirituelles (2005), Réflexions nouvelles sur des
questions juives (2007), ces trois derniers Chez Maisonneuve et Larose. En
2012, outre un recueil de récits et nouvelles, intitulé Il faudrait hâter le
désordre (Paris, Riveneuve), il a publié De la réalité, du mythe, de l’idéal.
Lectures critiques d’auteurs contemporains (Paris, L’Harmattan, « Commentaires
philosophiques »). Mathilde Tassel est docteur en
art et sciences de l’art, mention esthétique, de l’université Paris 1
Panthéon-Sorbonne, laboratoire CNRS LETA-CRE, ED 279 AP, Esthétique et sciences
de l’art. Sa thèse de doctorat portait sur Les enjeux éthiques du Bioart, 2009.
Elle a publié dans Archée, périodique électronique, revue d’art en ligne : arts
médiatiques et cyberculture : « Mobile, immobilisé », mars 2008 ; «
Sk-Interfaces, la peau comme interface », juin 2008 ; « De l’ambiguïté de
Körperwelten à la leçon d’anatomie de “Our body, à corps ouvert” », mai 2009.
Elle est aussi Conférencière intervenante à l’Institut universitaire du Temps
Libre de Reims, ainsi que productrice radio : « Reims, Ville d’art », RCF
Reims-Ardennes. Julie Zanardi est étudiante en deuxième année de master-recherche philosophie à l’université de Reims Champagne-Ardennes. Elle enseigne au lycée Jean-Jaurès de Reims. Elle prépare un mémoire sous la direction d’Anne-Gabrielle Wersinger, intitulé Le désir, une passion rationnelle ?, développant une nouvelle problématique du désir de l’Antiquité au monde contemporain. |