Visages de la pensée de la pensée ibérique - Mars 2018 - n° 25
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Les auteurs Clément Bertot est agrégé de philosophie. Professeur assistant à l’université catholique de Louvain, il prépare une thèse sur le problème de la grandeur dans la philosophie de Nietzsche, en co-tutelle avec l’université de Reims Champagne-Ardennes, sous la direction des professeurs P. Wotling et J. Leclercq. Il est membre du Groupe International de Recherches sur Nietzsche (GIRN).
Juan Miguel Chávez a effectué des études de sociologie à l’université de Bielefeld en Allemagne. Ancien élève de Niklas Luhmann, il est actuellement professeur ordinaire de théorie sociologique au département de sociologie de l’université de la Frontera, à Temuco (Chili). Il dirige l’unité de recherche « Lecturas de modernidad en el pensamiento latinoamericano » dans le cadre du programme « Problemas epistémicos de la teoría sociológica » (Centro de Investigaciones sociales del SUR, Universidad de La Frontera, Temuco, Chili). Plus généralement, ses recherches portent sur la théorie sociologique, sur les fondements épistémologiques de la sociologie et sur les formes de structuration sociale en Amérique Latine. Leonardo Coimbra (1883-1936) fut un philosophe et un homme politique portugais. Il fut par deux fois (1919 et 1923) ministre de l’Instruction publique. Ses œuvres principales sont : Camões e a Fisionomia Espirituel de Patria, A Alegria, a Dor a Graça. Michel Dupuis est professeur ordinaire à l’université catholique de Louvain (anthropologie philosophique et éthique biomédicale) et chargé de cours à l’université de Liège (herméneutique). Membre et président (2008, 2013) du comité consultatif de bioéthique de Belgique, il est également responsable scientifique du GEFERS (Groupe francophone d’études en éthique de la relation d’aide et des soins, Paris). Parmi ses dernières publications, citons notamment : Le soin, une philosophie (2013) ; L’éthique organisationnelle dans le secteur de la santé (2014) ; La bioéthique en question. Cinq études de méta-bioéthique (2014). Il a notamment traduit L. Binswanger, La fuite des idées (2000), E. Stein, Le problème de l’empathie (2012), et K. Hemmerle, Thèses pour une ontologie trinitaire (2013) Geneviève Fabry est professeure et chercheuse à la Faculté de philosophie et lettres de l’université de Louvain (Louvain-la-Neuve, Belgique) dans le domaine des littératures contemporaines en langue espagnole. Elle est spécialiste de poésie et roman du Cône Sud (Argentine-Chili). Elle a étudié l’expression littéraire de la violence dans des sociétés dictatoriales et post-dictatoriales, ainsi que l’élaboration du deuil. Elle s’est également intéressée à la manière dont sont lus, interprétés et réécrits les textes bibliques et mystiques dans la littérature contemporaine. Philippe
Forget est docteur en philosophie morale et politique (Paris IV-Sorbonne), ancien chercheur en science politique à l’Institut universitaire européen de Florence. Il a écrit de nombreuses études d’anthropologie philosophique ou stratégique. En collaboration avec Gilles Polycarpe, il a publié L’Homme machinal (Paris, Syros, 1990) et Le Réseau et l’infini (Paris, Economica, 1997). Il est l’auteur de plusieurs entrées dans le Dictionnaire de stratégie (Paris, PUF, coll. « Quadrige », 2006). Également théoricien de la laïcité, il a publié Du citoyen et des religions (Paris, Berg International, 2013). Dernier ouvrage paru : L’Obsession identitaire (Paris, Berg International, 2016). est titulaire d’un master en philosophie consacré à la stratégie aristotélicienne pour établir le principe de non-contradiction (université fédérale du Rio Grande do Sul, 2012), et d’un second master sur les enjeux politiques de l’image kantienne du Tribunal de la Raison (Erasmus Mundus – Europhilosophie, 2013). Il a récemment obtenu un doctorat (2017) à l’université catholique de Louvain sur la conception fichtéenne de la philosophie comme une pratique pédagogique de production du savoir. Il travaille notamment sur le rapport entre pratiques épistémiques et pratiques politiques.
Cesare Del Mastro est diplômé en littérature hispano-américaine et en philosophie (universités catholiques du Pérou, de Leuven et de Louvain-la-Neuve). Il mène actuellement ses recherches doctorales sur la phénoménologie henryenne du langage, la littérature et la vulnérabilité à l’Institut supérieur de philosophie de l’université catholique de Louvain. Il est aspirant au Fonds National de la Recherche Scientifique (FNRS). Il est chercheur auprès du Fonds Michel Henry de l’université catholique de Louvain, du Département de Philosophie et Lettres de l’université du Pacifique (Lima) et de l’Institut Bartolomé de las Casas (Lima), ainsi que membre du Cercle latino-américain de Phénoménologie et du Cercle péruvien de phénoménologie et d’herméneutique. Il assure des cours de littérature et philosophie à l’université catholique du Pérou et à l’université du Pacifique. Ses recherches sont consacrées aux rapports entre l’éthique et l’esthétique en dialogue avec la phénoménologie française (Emmanuel Levinas, Paul Ricœur et Michel Henry). Il est l’auteur notamment de La métaphore chez Levinas. Une philosophie de la vulnérabilité, Lessius Bruxelles, 2012, et de Sombras y rostros del Otro en la narrativa de José María Arguedas. Una lectura desde la filosofía de Emmanuel Levinas, université catholique du Pérou, Lima, 2007. Marina Mestre Zaragoza est maître de conférences HDR à l’ENS de Lyon et directrice-adjointe de l’IHRIM (UMR-CNRS 5317). Ses recherches portent sur l’histoire des idées, la poétique et la littérature en Espagne au Siècle d’Or. Francisco Mujica a effectué des études de sociologie à l’université catholique pontificale du Chili. Doctorant et chercheur VEX à l’Institut supérieur de philosophie de l’université catholique de Louvain-la-Neuve, il rédige actuellement une thèse de doctorat sur la phénoménologie de la douleur, sous la direction du professeur Michel Dupuis. Il a été professeur de philosophie politique, théorie sociologique, phénoménologie et sociologie du droit dans différentes universités chiliennes et chercheur visiteur en phénoménologie à l’université générale de Sarmiento (Buenos Aires) et à l’université de Fribourg en Allemagne. Alicia Oïffer-Bomsel est maître de conférences en Civilisation et en Littérature espagnoles (époque moderne, XVIe-XVIIe-XVIIIe siècles) à l’université de Reims Champagne-Ardennes. Ses recherches portent sur l’humanisme en Espagne, la pensée politique, philosophique et religieuse, et sur la réception de la culture latine classique. Parmi ses derniers articles, on peut citer les titres suivants : « La présence d’Aristote dans le renouveau des savoirs selon Jean-Louis Vivès » ; « Tacite dans la conception de l’histoire comme discipline en Espagne au XVIIIe siècle : la matière et la poétique historiques, vers une redéfinition ».
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